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Produits anti mouches agricoles : notre guide complet pour bien choisir !

L’invasion des mouches : un véritable casse-tête pour les éleveurs.

À chaque retour des beaux jours, les mouches investissent les bâtiments d’élevage. Mais leur présence ne se limite pas à une simple gêne pour les animaux ou les éleveurs : ces insectes sont des vecteurs redoutés de pathologies, parfois graves, dont certaines connaissent aujourd’hui une recrudescence préoccupante.

Qu’il s’agisse de maladies oculaires, de troubles cutanés ou de transmissions virales, les mouches jouent un rôle clé dans leur propagation. Comprendre leur mode de vie est donc essentiel pour agir efficacement.

Nettoyage, traitements larvicides, pièges ou répulsifs naturels appliqués directement sur les animaux…Pour être durable, la lutte contre les mouches en élevage repose sur une stratégie globale, organisée autour de plusieurs leviers complémentaires.

Dans cet article, nous vous guidons pas à pas pour :

  • Identifier les risques liés aux mouches dans vos élevages,

  • Comprendre leur cycle biologique pour mieux intervenir,

  • Mettre en place une stratégie de lutte anti mouches professionnelle et efficace.


1. Les mouches, un vrai fléau dans vos bâtiments agricoles ?

Invisible une grande partie de l’année, la mouche redevient omniprésente dès le retour des températures plus douces. En élevage, sa présence n’est pas anodine : elle perturbe les animaux, engendre du stress, provoque des regroupements, augmente les mouvements et peut aller jusqu’à impacter directement leur consommation alimentaire ou leurs performances de production.
Mais au-delà de cette gêne quotidienne, les mouches sont surtout reconnues pour leur rôle dans la transmission de pathologies parfois graves. Certaines maladies ont même connu un net regain ces dernières années, comme la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO) ou la Maladie Épizootique Hémorragique (MHE).
Comprendre les liens entre mouches et maladies vous permettra de mieux évaluer les risques dans votre élevage, pour ensuite mettre en place une stratégie de lutte réellement adaptée.

FCO & MHE : deux maladies virales transmises par les culicoïdes

La Fièvre Catarrhale Ovine (FCO) et la Maladie Épizootique Hémorragique (MHE) sont deux maladies virales à transmission vectorielle, véhiculées par des culicoïdes, petits moucherons hématophages. Ces vecteurs transmettent le virus d’un animal infecté à un animal sain par simple piqûre.

Ces affections touchent principalement les ruminants domestiques (bovins, ovins, caprins), et sont responsables de symptômes parfois sévères : fièvre, congestion des muqueuses, boiteries, œdèmes, lésions buccales, voire avortements et mortalités.

La FCO transmise par les mouches - CTH Agri

En élevage bovins, la MHE peut passer inaperçue mais engendrer des baisses de production et une altération de l’état général, avec un impact économique non négligeable.

ℹ️ Pour en savoir plus sur ces deux maladies, leurs symptômes, leur évolution et les zones touchées, consultez notre article complet :

IMPACTS DE LA FCO SUR LES BOVINS ET OVINS EN FRANCE

La mammite d'été

La mammite d'été est une infection bactérienne aiguë de la glande mammaire principalement observée lors de la période estivale. Elle est souvent associée à la présence de mouches, notamment Hydrotaea irritans, qui, bien que non piqueuses, se nourrissent des sécrétions des animaux et peuvent transmettre des agents pathogènes tels que Arcanobacterium pyogenes, Staphylococcus aureus, Streptococcus dysgalactiae, Streptococcus uberis, Streptococcus agalactiae, Peptostreptococcus indolicus et Fusobacterium necrophorum (source : Wikipédia).

Mammite d'été élevage bovins - CTH agri

(©elevage-tarn.fr)

Les lésions causées par les piqûres de mouches ou les abrasions sur les trayons servent de points d'entrée pour ces bactéries, entraînant une inflammation aiguë, des abcès, une production de pus…

👉 La prévention repose sur une gestion rigoureuse de l'environnement, incluant le contrôle des populations de mouches, le maintien d'une hygiène stricte lors de la traite et la surveillance régulière de l'état des trayons.

L'adaptation des produits d'hygiène mamelle aux conditions de pâturage permet de préserver l'intégrité de la peau des trayons et de maintenir une barrière naturelle efficace contre les agents pathogènes.

La maladie de Schmallenberg

▶️ Cette maladie virale, transmise par des Culicoïdes (moucherons piqueurs), affecte principalement les moutons, mais aussi les bovins et les caprins. Chez les animaux adultes, l’infection passe souvent inaperçue ou se manifeste par des signes transitoires comme de la fièvre, une baisse d’appétit ou une chute de production. 

▶️ En revanche, lorsqu’elle survient chez des femelles gestantes, elle peut avoir de lourdes conséquences : avortements, mortinatalité ou naissance de jeunes présentant des malformations congénitales sévères (arthrogrypose, scoliose, hydranencéphalie).

▶️ La période de gestation à risque varie selon l’espèce, et le moment d’infection conditionne la gravité des lésions. La dissémination du virus est directement liée à l’activité des vecteurs.

Maladie Schmallenberg Lutte mouches CTH agri

(©gds64.fr)

La Kératoconjonctivite Infectieuse Bovine (KCIB)

Kératoconjonctivite Infectieuse Bovine Lutte mouches CTH agri

(©agrireseau.net)

▶️ Également connue sous le nom de "maladie de l’œil rouge", c’est une infection oculaire fréquente en élevage bovin, particulièrement en période estivale. Elle est causée principalement par Moraxella bovis, une bactérie hautement contagieuse. Les mouches, en particulier les mouches suceuses comme Musca autumnalis, jouent un rôle clé dans la transmission mécanique de la maladie. Attirées par les sécrétions lacrymales, elles passent d’un animal à l’autre, favorisant la dissémination rapide de l’agent pathogène.

▶️ Les symptômes incluent un larmoiement excessif, une conjonctivite, une photophobie (sensibilité à la lumière), des ulcérations de la cornée, voire une opacité oculaire. Sans prise en charge, les cas graves peuvent évoluer vers une perforation de la cornée et une perte de vision. Le stress causé par les mouches et les conditions de pâturage (vent, poussière, UV) sont autant de facteurs aggravants. La lutte contre les mouches est donc un levier essentiel dans la prévention de la KCIB.

La myiase

▶️ La myiase est une affection parasitaire causée par le développement de larves de mouches (asticots) dans les tissus vivants ou les plaies des animaux. Certaines espèces de mouches, comme Lucilia sericata (la mouche verte), sont attirées par les plaies ouvertes, les zones souillées de matière organique (croûtes, diarrhées, écoulements), ou les plis cutanés humides.

▶️ Les femelles adultes pondent leurs œufs à la surface de la peau. Une fois éclos, les asticots pénètrent les tissus et se nourrissent de chair vivante, provoquant de sévères lésions, des douleurs intenses, une inflammation et une possible infection secondaire. Cette parasitose peut entraîner un affaiblissement rapide de l’animal, une perte de production, et dans les cas graves, la mort si elle n’est pas traitée.

Myiase Lutte mouches CTH agri

(©reussir.fr)

La parafilariose

Parfois appelée "sueur de sang", la parafilariose est une maladie parasitaire causée par des filaires (Parafilaria bovicola), des vers ronds transmis par les mouches piqueuses agissant comme vecteurs. Lorsqu’une mouche infectée pique un bovin, elle peut transmettre les larves qui migrent dans le sang et les tissus de l’animal.

Parafilariose Lutte mouches CTH agri

(©Sciencedirect.com)

👉 Les symptômes caractéristiques apparaissent sous forme de nodules sous-cutanés qui finissent par suinter un liquide séro-sanguinolent. Ces "saignements cutanés" sont typiques de la maladie. Dans les cas avancés, la parafilariose peut également entraîner :

  • une anémie (diminution des globules rouges),
  • une baisse d’état général,
  • voire des lésions internes chez les animaux fortement infestés.

Si les ruminants sont particulièrement exposés aux risques sanitaires liés aux mouches, les volailles ne sont pas en reste.

Et du côté des volailles ?

▶️ Dans les bâtiments avicoles, les mouches – et surtout les moucherons comme Fannia canicularis ou Musca domestica – se multiplient rapidement en raison de la chaleur, de l’humidité ambiante et de la présence de fumier. Leur présence en nombre génère un stress permanent chez les volailles, diminuant leur bien-être, leur consommation alimentaire et leur croissance. De plus, les mouches sont vectrices de nombreuses bactéries pathogènes (E. coli, Salmonella, Campylobacter...) qu’elles disséminent en se posant sur les aliments, les abreuvoirs ou les blessures.

▶️ Le grattage et l'agitation des animaux, causés par les irritations et les piqûres, peuvent accentuer le risque de blessures cutanées et de pododermatites, impactant la qualité des lots. En ponte, la pression mouche est également une source de stress pouvant affecter la qualité des œufs (coquilles fragiles, chutes de ponte).

Lutte contre les mouches en élevage avicole CTH agri

(©reussir.fr)

▶️ Une gestion globale et rigoureuse des populations de mouches en élevage avicole est donc indispensable, non seulement pour le confort des animaux, mais aussi pour la performance zootechnique et la biosécurité du site.

👉 Les mouches ne sont pas qu'un inconfort : elles peuvent être des vecteurs de maladies graves, menaçant la santé de vos animaux et la productivité de votre élevage. Anticiper et mettre en place une stratégie de lutte efficace est essentiel pour garantir un environnement sain et protéger vos animaux. N’attendez pas qu’une épidémie se déclare, agissez dès maintenant en combinant bonnes pratiques et solutions adaptées. Et pour anticiper, rien de tel que de comprendre l’ennemi !

2. Comprendre le cycle de vie de la mouche pour mieux la combattre

Pour mettre en place une stratégie de lutte réellement efficace, il est essentiel de maîtriser le cycle de développement des mouches, ainsi que leurs habitats de reproduction. Une intervention bien placée dans le temps et dans l’espace permet de casser le cycle biologique et de limiter durablement les infestations.

Un cycle de développement rapide, conditionné par l’environnement

La lutte efficace commence par une bonne compréhension de l’ennemi. Ce cycle dure de 7 à 21 jours, en fonction de la chaleur et de l’humidité.

Les mouches pondent leurs œufs dans des milieux chauds, humides et riches en matière organique : litières souillées, lisier, fumier frais, aliments fermentés, zones humides mal entretenues (abreuvoirs, auges, bords de bâtiments). En période estivale, et selon la température ambiante, leur cycle peut être complété en moins de 10 jours :

Cycle de vie d'une mouche CTH agri

💡 BON À SAVOIR

👉 C’est au stade larvaire que l’action est la plus stratégique : en empêchant la métamorphose, vous limitez l’explosion de la population adulte.

À noter : une femelle peut pondre jusqu’à 1 200 œufs au cours de sa vie, ce qui explique la vitesse exponentielle de prolifération si rien n’est mis en place pour réguler leur population.

Deux grandes catégories de mouches coexistent en élevage

Les mouches suceuses

Elles se nourrissent de matières organiques liquides (excrétions, plaies, larmes, lait), attirées par les zones sensibles comme les yeux, les muqueuses ou les trayons. En plus de leur rôle dans la transmission mécanique de pathogènes, leur présence provoque stress et irritation.

Les mouches piqueuses

Ces espèces, comme Stomoxys calcitrans ou Haematobia irritans, sont hématophages : elles se nourrissent de sang et peuvent transmettre agents infectieux, parasites ou virus. Leur piqûre est douloureuse, entraînant baisse d’ingestion, agitation, et dans les cas extrêmes, des pertes de production.

LE CYCLE DE VIE DE LA MOUCHE

Cycle de vie mouche CTH agri

(©web-agri.fr)

Pourquoi connaître ce cycle est stratégique ?

En identifiant les zones de ponte, les stades vulnérables (larves, pupes), et les périodes de pics de développement, vous pouvez :

  • Adapter vos pratiques d’hygiène et d’entretien.
  • Mettre en place un plan de lutte ciblé (physique, chimique, biologique).
  • Anticiper plutôt que subir l’invasion.
     

3. Les 4 piliers d'une stratégie efficace pour lutter contre les mouches en élevage

Les mouches sont bien plus qu’une simple nuisance : elles perturbent les animaux, favorisent la transmission d’agents pathogènes et nuisent à la performance des élevages. Pour garder le contrôle, il ne suffit pas d’agir ponctuellement : il faut mettre en place une stratégie globale, cohérente et adaptée au cycle de vie de l’insecte. Voici les 4 piliers essentiels d’une lutte raisonnée et efficace contre les mouches 👇

Nettoyer et assécher : le premier rempart contre les mouches

La prévention commence toujours par l’hygiène du bâtiment. Les mouches adorent les zones chaudes, humides et riches en matière organique : fumier humide, résidus alimentaires, fuites d’eau…Ces conditions sont idéales pour la ponte et le développement des larves. En moins de 10 jours, une larve peut devenir une mouche adulte si le climat est favorable. 

L’objectif est donc clair : Il faut rendre l’environnement le moins accueillant possible.

hygiène bâtiment anti mouche CTH Agri

À mettre en place dans votre élevage :

  • Évacuer régulièrement le fumier, en particulier dans les zones peu aérées,
  • Réparer les fuites, nettoyer les abreuvoirs, curer les coins sombres et les dessous de portes,
  • Retirer les résidus de lait et d’aliments (cases à veaux, niches…),
  • Remuer le fumier pour exposer les larves à la lumière et à la chaleur.

👍 Pensez aussi à la ventilation : un courant d’air constant aide à assécher les sols et limite la condensation.

💡 NOS CONSEILS

Pour maintenir un sol sec et moins favorable au développement larvaire, utilisez nos asséchants FRESHIA TOP ou FRESHIA NUVO B (version utilisable en agriculture biologique).

👉 Retenez qu’un bâtiment propre, sec et bien aéré, qu’il s’agisse d’une stabulation, d’une porcherie ou d’un poulailler, est déjà un environnement moins propice à la reproduction des mouches.

Casser le cycle dès le stade larvaire

Une erreur fréquente que nous constatons : se concentrer uniquement sur les mouches adultes, qui représentent entre 10 et 20% de la population réelle ! Pourtant, les larves sont bien plus simples à cibler, car elles ne se déplacent pas. En agissant à ce stade, vous bloquez la prolifération à la source.

Où appliquer les larvicides ?

  • Tas de fumier frais
  • Zones paillées humides (non piétinées)
  • Fosses à lisier, caillebotis, zones sombres difficiles à nettoyer

👉 Appliquez le produit dans les 10 premiers centimètres de matière organique. Utilisez de préférence un arrosoir pour bien imbiber les zones ciblées.

Fréquence : toutes les 4 à 6 semaines en fonction de la pression. Idéalement dès le printemps, après curage ou vidange, pour anticiper les pics estivaux.
 

💡 NOTRE SOLUTION

LARVI TOP L :  un larvicide puissant à action ciblée sur les jeunes stades de développement.

💡En intervenant au stade larvaire, vous bloquez la multiplication avant qu’elle ne devienne incontrôlable.

Piéger les mouches adultes pour limiter la pression

Même avec une bonne hygiène et un traitement larvaire efficace, des mouches adultes persistent. Ce sont elles qui pondent à nouveau, redémarrant un cycle complet en quelques jours. Il est donc essentiel d’intervenir également directement sur les adultes.

💡Notre conseil : associer pièges et traitement insecticide.

Pièges à mouches adultes

Avantages Solutions
  • Surveiller l’intensité de l’infestation
  • Pièges collants (plaques, rubans, seaux attractifs) dans les zones sensibles
  • Capter les premières mouches dès le printemps
  • Dispositifs lumineux ou électriques (nurseries, salles de traite) tels que le KILL 800
  • Réduire la population sans intervention chimique
  • MOSCA TOP, notre piège attractif prêt à l’emploi, idéal pour les zones d’élevage ⚠️Produit arrêté

 

Insecticides mouches adultes

Avantages Conseils
  • Réduire la population adulte en période de forte pression
  • Des insecticides à pulvériser sur les murs, cloisons, encadrements de fenêtres
  • Assurer une action choc dans les zones à forte densité (logettes, couloirs, coins sombres)
  • Alternez les matières actives pour éviter les phénomènes de résistance
  • Compléter les autres leviers quand ils ne suffisent plus à eux seuls

Nos solutions anti mouches adultes :

  • TOP KILL 10 : effet choc immédiat, idéal en début de saison ou en traitement d’attaque
  • MOSCA KILL : action rémanente pour maintenir la pression basse
  • KILL BOOST : produit éligible en agriculture biologique

Protéger les animaux : la dernière barrière contre les mouches

Même en agissant sur l’environnement et les larves, certaines mouches adultes parviennent toujours à atteindre les animaux. Ce sont souvent celles qui viennent perturber le plus directement les animaux : elles piquent, stressent, agacent…et nuisent au bien-être comme aux performances. D’où l’intérêt de renforcer la protection individuelle et collective des animaux avec des solutions complémentaires, naturelles et sûres.

▶️ REPULS'FLY

en application directe sur les animaux

Pour une protection individuelle, REPUL'SFLY est votre allié. Ce spray prêt à l’emploi s’applique directement sur les animaux (bovins, caprins, ovins…) pour former une barrière odorante à base d’huiles essentielles. Idéal en complément d’un traitement de bâtiment, il est adapté aux animaux qui restent dans les pâtures.

REPULS'FLY Répulsif mouches CTH agri

▶️ KROUNER ALLIUM & ALLIUM B

agir de l’intérieur grâce à l’alimentation

Dernier levier : l’action nutritionnelle. Nos seaux à lécher KROUNER ALLIUM (et sa version bio ALLIUM B) sont formulés avec de vrais extraits d’ail, un ingrédient reconnu pour ses propriétés répulsives naturelles. Une fois ingérée, l’ail agit via les composés sulfurés excrétés par la peau, qui repoussent les insectes. C’est une solution discrète, continue, idéale en période de pâturage ou dans les lots difficiles à manipuler.

KROUNER ALLIUM Répulsif mouches CTH agri

👉 En combinant ces approches (diffusion dans le bâtiment, application sur les animaux et action nutritionnelle), vous renforcerez significativement la protection de votre troupeau…tout en limitant le stress, les pertes de production et l’usage d’insecticides.

AMBIA FLY de CTH : un produit agricole anti mouches à base d'extraits végétaux redoutablement efficace !

Pour compléter efficacement votre stratégie de lutte mouches, nous vous recommandons AMBIA FLY : un répulsif conçu spécialement pour un usage en élevage.

AMBIA FLY RÉPULSIF MOUCHES CTH AGRI

Ce produit associe des huiles essentielles aux propriétés répulsives. Son efficacité repose sur :

  • Une action immédiate et prolongée sur les zones traitées,
  • Une formulation à base d’extraits végétaux,
  • Une application facile en brumisation, pulvérisation sur les murs, encadrements, équipements ou zones de repos.
     

Double avantage avec FOGGY 2.0

Utilisé avec notre système de brumisation FOGGY 2.0, AMBIA FLY permet de diffuser automatiquement le répulsif dans tout le bâtiment.
Résultat : une brume fine et homogène, qui agit à la fois comme un rafraîchisseur d’ambiance et comme une barrière olfactive dissuasive.

💡 Ce duo offre une solution complète, surtout en période de forte chaleur : on lutte à la fois contre les insectes et le stress thermique.

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